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Les derniers hommes
Avril 2024
vendredi 12 avril – dimanche 21 avril
LE FILM
Les derniers hommes
Fiction de David Oelhoffen (Loin des hommes, Frères ennemis…) – scénario David Oelhoffent et Catherine Stragand – d’après Les chiens jaunes d’Alain Gandy – Editions Presse de la Cité – 2H – Tandem
avec Guido Caprino, Andrej Chyra, Nuno Lopes, Axel Grandberger…
Synopsis
9 mars 1945. L’armée japonaise lance un assaut foudroyant contre les troupes françaises en Indochine. Traquée par l’ennemi, une colonne de légionnaires déjà affaiblis s’élance au cœur de la jungle pour rallier les bases alliées à plus de 300 km….
20 critiques presse
Culturopoing.com – Le réalisateur tend ce miroir kaléidoscopique à l’aide d’un casting puisant dans tous le cinéma Européen, avec notamment l’acteur polonais Andrzej Chyra ou italien Guido Caprino pour ne citer qu’eux.
Ecran Large – Dans la continuité d’autres grands films de guerre désespérés, mais imprégnés d’humanité (Onoda, Les Confins du monde), Les Derniers Hommes est un acte de cinéma puissant, habité par des fantômes d’une remarquable tangibilité.
L’Humanité – Un haletant chemin de croix antimilitariste.
L’Obs – Ce qui ressort, c’est l’extraordinaire désespoir de ces soldats au bout du rouleau, qui avancent malgré tout. Il y a là une formidable peinture de la nature humaine, et une conscience aiguë de ce qu’est la guerre (une déshumanisation).
Le Journal du Dimanche – L’approche est sensorielle, et le propos, centré sur l’humain avec des accents panthéistes, fort et émouvant. Un long (peut-être trop) et beau voyage au bout de l’enfer dont le spectateur ne sort pas tout à fait indemne.
Les Inrockuptibles – Mené de façon haletante, Les Derniers Hommes de David Oelhoffen est un film sur le choix et le hasard, sur le fait de prendre telle ou telle route, telle ou telle décision, sans savoir jamais quelle est la bonne.
Ouest France – La route est longue à travers la jungle, le film aussi, mais l’aventure humaine reste prenante.
Transfuge – En retraçant la traque d’un groupe de légionnaires par des japonais en 1945, David Oelhoffen signe un film puissant sur la condition humaine.
Télé Loisirs – Cette odyssée en terre hostile s’inscrit dans les pas de la 317e section, un classique du genre. Un héritage assumé pour un film de groupe sauvage et mystique.
La Croix – Film de survie plus que de guerre, Les Derniers Hommes harponne immédiatement le spectateur par l’intensité du récit et la puissance des sentiments. Avec respect, le réalisateur David Oelhoffen (Loin des hommes, Frères ennemis) donne à chacun son humanité, parfois conquise sur le fil d’une tardive rédemption.
Le Monde – Sans forcément atteindre un tel sommet et sa dimension métaphysique, l’œuvre de David Oelhoffen, description d’une masculinité héroïque et perdue, s’impose pourtant comme une bonne surprise, comme venue d’un autre temps.
Télé 7 Jours – Une âpre dénonciation de l’absurdité de la guerre (…).
aVoir-aLire.com – Un solide film de guerre basé sur une histoire vraie.
Cahiers du Cinéma – Si, légion étrangère oblige, la troupe est cosmopolite (on y trouve un soldat portugais, un italien, un polonais, etc.), le récit souffre pourtant d’un manque d’hétérogénéité, tant la moiteur mortifère de la jungle semble avoir contaminé pour de bon les militaires en moins de dix minutes.
Le livre adapté: Vingt légionnaires d’un camp de repos pour alcooliques, dépressifs, inaptes au combat, isolé sur les hauts plateaux du Laos, sont chassés par le sanglant coup de force japonais du 9 mars 1945. Pendant plus de cent jours ils vont tenter de trouver un passage vers la lointaine frontière de Chine. Poursuivis, à la fois par l’ennemi et par leur déchéance physique, jetés dans l’enfer d’une jungle hostile, de montagnes escarpées en vallées hantées par les démons, ils sont tenus d’une main de fer par l’adjudant Janicek, secondé par le docteur Aubrac et une jeune infirmière. Présence d’une femme et privation d’alcool, il n’en faut pas plus pour exacerber leurs caractères d’écorchés vifs. Ils se déchirent jour après jour, épuisés, nu-pieds, affamés, brûlés par le soleil, transis par la mousson, noyés dans les brouillards des cimes. Pourtant, leur chef a décidé de les sauver, malgré eux. Leur vieille expérience de soldats, leur ancienne camaraderie, réveillée par les attaques japonaises, les aideront-elles à marcher, encore et encore, jusqu’à l’inaccessible Chine ? La volonté n’est peut-être pas suffisante pour résister à l’appel de la mort, qu’elle vienne en bord de piste d’un coup de feu, de la misère, de la faim, ou d’une soif inextinguible….
La légende de ces soldats a nourri l’histoire de ce film, celle de la “drink colonne”.
LES SÉANCES
Dans le cadre de Clins d’œil Cinéma
5 rencontres avec le réalisateur DAVID OELHOFFEN
ANDERNOS – CINEMA LA DOLCE VITA – VENDREDI 12 AVRIL – 20H30
SAINTE FOY-LA-GRANDE – CINEMA LA BRECHE – SAMEDI 13 AVRIL – 15H –
CREON – CINEMA LE MAX LINDER – SAMEDI 13 AVRIL – 17H –
BLAYE – CINEMA LE ZOETROPE – SAMEDI 13 AVRIL – 20H45 –
LA REOLE – CINEMA LE REX – DIMANCHE 14 AVRIL – 17H –
5 présentations du film – Les films de David Oelhoffen et le livre d’Alain Gandy Les chiens jaunes….
LACANAU – CINEMA L’ESCOURE – MERCREDI 17 AVRIL – 20H45
LEOGNAN – CINEMA GEORGES BRASSENS – VENDREDI 19 AVRIL – 20H30
COUTRAS – CENTRE CULTUREL – SAMEDI 20 AVRIL – 15H
SOULAC – CINEMA OCEANIC – DIMANCHE 21 AVRIL – 17H
HOURTIN – CINEMA LOU HAPCHOT – DIMANCHE 21 AVRIL – 18H15